La paix. Pour exister, la paix a besoin de la contribution active et constante de chacun. On ne peut pas la déléguer. Ce n'est pas une question entre chefs d'État, ni une utopie... Il faut le courage de Catherine pour parler et se donner, il faut la constance de Pier Giorgio dans la prière (avec la Società dei Tipi Loschi, une amitié profonde, fondée sur le lien de la prière et de la foi. « Je voudrais que nous jurions un pacte qui ne connaisse ni frontières terrestres ni limites temporelles : l'union dans la prière » et dans l'action (il s'inscrivit à la faculté de génie mécanique, spécialisation en mines, avec l'intention de pouvoir travailler aux côtés des mineurs, la classe ouvrière la plus défavorisée à l'époque, pour les aider à améliorer leurs conditions de travail).